Focus CV : Frédéric Moncorger

28 février 2017 0 commentaire

« Après un cursus traditionnel, je suis passé par le haut de gamme puis la haute couture de l’automobile »

Il a plus de 20 ans d’expérience dans la peinture au pistolet. Frédéric Moncorger poursuit son chemin guidé par ses passions et les opportunités.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours scolaire ?

Frédéric Moncorger : Après un an de préapprentissage en mécanique, je suis passé par un an d’apprentissage « tôlier/carrossier réparateur » puis 2 ans en tant que « peintre en carrosserie automobile » toujours en apprentissage. J’ai obtenu un CAP de préparateur peintre coloriste automobile.

Pourquoi avez-vous choisi de travailler dans l’automobile ?

F.M : C’est un mélange entre deux passions. J’ai toujours aimé rénover et réparer des objets et je suis un passionné de voitures anciennes, notamment les Citroën DS.

Comment avez-vous pu évoluer au cours de votre carrière ?

F.M : J’ai suivi un cursus traditionnel pour commencer. J’ai ensuite travaillé sur des véhicules haut de gamme, de prestige et de collection. Enfin, après avoir postulé, je suis rentré dans le milieu de la haute couture de l’automobile dans les maquettes prototypes et concept cars dans le design en travaillant sur des pièces uniques au monde.

Mes différentes expériences m’ont permis d’encadrer et de former des professionnels, apprentis et stagiaires, d’avoir des connaissances approfondies dans différentes marques de peinture mais aussi d’être un précurseur en nouvelles technologies de peinture à l’eau. J’aime le travail bien fait et j’ai le sens des responsabilités.

Comment vous voyez-vous évoluer professionnellement dans le futur ? Quels sont vos projets ?

F.M : Après avoir passé de nombreuses années dans le milieu de la réparation automobile, je pense que je changerai un jour de domaine professionnel mais rien n’est défini pour le moment.

Si tout était à refaire, est-ce que vous referiez les mêmes choix d’études ou de choix de carrière ?

F.M : Si j’avais été plus mur à l’époque et moins dissipé dans le scolaire, je pense que j’aurais poursuivi mes études. En revanche, dès que j’ai eu l’âge de travailler, je m’y suis réellement mis pour pouvoir être autonome, matérialiser mes passions (les loisirs automobiles et les deux roues) et également de me sentir libre de mes choix.

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